SOINS ÉNERGÉTIQUES

 

Une histoire de guérison singulière : quand chamanisme, esprit et technologie se rencontrent !

 

 

 

Je viens partager avec vous ma guérison spectaculaire, intervenue dans des conditions fort improbables, pour ne pas dire miraculeuses. Jugez-en plutôt !

 

Mon problème :

 

Depuis plusieurs décennies, je souffre du dos, au niveau de la colonne lombaire, et j’ai du faire face à de nombreux lumbagos, sciatiques et cruralgies…J’ai régulièrement passé des IRM pour voir l’évolution des dégradations. Il y a 7 ans, compte-tenu des discopathies dégénératives étagées des vertèbres lombaires, surtout en L4 et L5, d’une arthrose zygapophysaire postérieure, d’un rétrécissement foraminal très important sur certaines lombaires et de cruralgies sévères entraînant de grandes souffrances chroniques, le chirurgien que j’ai consulté m’a proposé de m’opérer. A ma demande, il m’a précisé en quoi consisterait cette opération. J’avoue que ce qu’il m’a expliqué ne m’a pas incité du tout à suivre son conseil. Cependant, à cette époque, et depuis 3 mois consécutifs, j’étais dans de grandes souffrances, nuit et jour, ne supportant ni d’être assis, ni debout, ni couché. Pour m’aider à supporter la douleur, la nuit, je marchais dehors durant des heures…Il ne m’était plus possible de rester dans cette situation. Comme j’étais thérapeute, je me suis décidé à me prendre en charge. Des investigations radiesthésiques auxquelles j’ai alors procédé, il est ressorti que je pouvais combattre mon état inflammatoire par l’absorption quotidienne de serrapeptase et de curcumine pure. J’ai défini la posologie par radiesthésie, de laquelle il a résulté que je devais absorber ces produits à des doses quadruples de celles qui sont généralement prescrites. Sans hésiter, j’ai commencé ce traitement et, dans les 3 jours qui ont suivi, les souffrances et tous les symptômes qui les accompagnaient se sont rapidement estompés. J’ai, ensuite, poursuivi jusqu’à maintenant ce traitement, mais à des doses moindres.

 

Je savais qu’en procédant ainsi, je n’avais pas résolu le problème de fond mais simplement jugulé l’état inflammatoire et, par suite, les douleurs. Je gardais donc une épée de Damoclès au-dessus de mon tronc vertébral…

 

Et, effectivement, il y a environ 2 ans et demi, les souffrances sont revenues, encore plus fortes qu’avant et n’ont cessé, depuis lors, de s’intensifier. En raison de l’état de santé de ma femme (alitée en permanence, sous assistance oxygène 24H/24, et totalement dépendante), il n’était pas envisageable pour moi de me faire opérer car cela aurait impliqué, ipso facto, de la transférer dans un centre spécialisé. Je me suis alors mis en quête de médecins et thérapeutes susceptibles de me soigner, sans que j’aie besoin de quitter mon domicile. Force m’a été de constater que cette démarche ne débouchait sur aucune solution. Mon état continuant de  s’aggraver à la vitesse grand V, j’ai commencé à être aux abois, avec le sentiment de me trouver dans une impasse insurmontable. Voici une brève description de ce que j’avais, en particulier, à supporter chaque jour :

 

-intenses douleurs permanentes à la cuisse et à la jambe gauches (cruralgie), assorties de crampes sévères,

 

-lombosciatique touchant tous le côté droit (arrière de la cuisse, de la jambe, jusqu’au talon inclus), avec grosse difficulté de déplacement,

 

-tendinites aux poignets, aux épaules et aux chevilles,

 

-paralysies subites quotidiennes du dos, puis du corps en entier, cerveau compris, assorties de pertes de conscience, intervenant principalement en cours d’après-midi et le soir. Elles étaient suivies de très grandes difficultés pour retrouver ma lucidité et ma mobilité.

 

-souffrances considérables au moment du coucher, entraînant, de ma part, des hurlements prolongés et une tachycardie très poussée.

 

--cerveau partiellement paralysé le matin, au lever, m’obligeant à frotter mon front et l’arrière de ma tête durant de longs moments pour retrouver pleine conscience.

 

Les efforts continus auxquels je me suis astreint pour continuer à aider mon épouse étaient devenus terrifiants et je vivais dans l’angoisse de devoir abandonner la partie…

 

Quand le « hasard » s’en mêle :

 

Et puis le hasard,… qui n’existe pas, a mis sur mon chemin la chamane Brigitte PIETRZAK (*) ! C’est en regardant une vidéo qui lui était consacrée que je l’ai découverte. Au premier regard, j’ai senti combien elle était lumineuse, chaleureuse, sincère et généreuse. Je me suis dis que j’allais prendre contact avec elle pour voir si elle était en mesure de soigner ma femme. Je lui ai décrit succinctement l’ état de santé de celle-ci et lui ai envoyé une photo. La séance à distance qu’elle lui a consacrée a, malheureusement, été infructueuse. Par contre, elle m’a dit qu’elle pouvait peut être m’aider. Je lui ai fait confiance et lui ai donc demandé de requérir les Esprits pour moi. Au cours de l’entretien qui s’en est suivi, elle m’a indiqué qu’un Esprit, qu’elle nomme « Grand Guerrier », était disposé à me délester de mes souffrances mais que, pour cela, je ne devais pas hésiter à solliciter son aide, aussi souvent que nécessaire. Sur ses conseils, j’ai érigé, dans mon bureau, un petit autel symbolique flanqué d’une bougie. J’’ai appelé l’Esprit et il est venu. Je ressens désormais sa Présence bienveillante à mes côtés et je lui parle souvent comme s’il faisait partie de mes proches. Très rapidement il m’est devenu familier et nous communiquons télépathiquement. Je ne sais pas comment vous l’expliquer : moi, je lui parle comme à un humain, avec des phrases mais aussi, simultanément, avec mon cœur. Je reçois en moi ses réponses ; elles ne sont pas formulées en mots mais je les perçois sans effort, avec une clarté évidente…Au cours des jours qui suivirent notre 1er contact, mon état s’améliora notablement : moins de souffrances, des paralysies moins fortes et moins fréquentes, mais, cependant, pas de guérison. Et puis, rapidement, cet abonnissement a cédé la place à un retour de tous mes symptômes et de toutes les souffrances précédents. Alors, je me suis adressé, avec véhémence, à « Grand Guerrier », en le suppliant de trouver une solution pour que mon enfer quotidien cesse enfin.

 

 Et voilà que le jour suivant le « hasard » (encore lui !) s’arrange pour qu’un mail me soit adressé mentionnant pour objet « Machine stop douleurs ». J’avoue que cela n’a pas attiré du tout mon attention et je m’apprêtais à le mettre à la poubelle, sans l’avoir lu. Mais « Grand Guerrier » était là qui veillait et j’ai entendu en moi une injonction qui peut se traduire par « Stop ! Lis ce courriel ! Il t’est spécialement destiné ! ». Venant de « Grand Guerrier », un tel ordre formel m’a surpris et, dans un 1er temps, j’ai envisagé de ne pas en tenir compte. J’ai l’habitude de ne pas m’arrêter sur ce type de publicité pleine de promesses qui ne sont généralement pas tenues. « Grand Guerrier » ne l’a pas entendu de cette oreille et il s’est manifesté à nouveau par un tonitruant « tu me fais confiance ou pas ? Lis tout ce qui est écrit, attarde-toi sur les explications données et commande cet appareil !». Je suis resté un moment hésitant puis je me suis dis que çà ne m’engageait à rien de lire l’annonce en question.

 

Une technologie séduisante :

 

Cette information publicitaire commençait par une interview de son inventeur, un ingénieur français en robotique, touché, depuis 25 ans, par un mal de dos sévère et qui avait essayé, en vain, toutes les solutions thérapeutiques aux quelles on peut faire appel. Un jour, en regardant son chat s’étirer, l’idée lui est venue que ces félins ne font pas cela sans raison et il s’est alors documenté sur ce point. C’est ainsi qu’il a appris que les chats faisaient régulièrement des étirements pour éviter de souffrir du dos et finir par être paralysé par arthrose. Il a acquis la conviction que pour arrêter ses propres souffrances du dos, il lui fallait, lui-aussi, faire des étirements comme les chats. Vu son métier, il s’est mis en tête de concevoir puis de fabriquer un appareil permettant de faire de tels étirements tout en chauffant à l’endroit adéquat. Il a donc construit un prototype, l’a essayé sur lui-même et, constatant les bienfaits qu’il lui apportait, a développé, avec le concours de spécialistes du Collège Européen du Dos, un appareil médical plus perfectionné et abouti. Celui-ci est commercialisé sous le nom de Smart Lumbar.

 

Que fait donc ce dispositif anti mal de dos ?

 

-1) Il simule l’étirement du chat par une traction dynamique qui permet aux vertèbres de s’écarter et de décompresser ;

 

-2) Il chauffe le dos à l’endroit traité, ce qui détend les muscles et améliore l’irrigation sanguine ;

 

-3) Il émet des vibrations (à mon sens, cette fonction a une importance majeure car elle permet au corps d’évacuer les mémoires traumatiques et de retrouver ses pulsations initiales) ;

 

-4) Il dispense un champ magnétique, à basses fréquences, selon le principe de la magnétothérapie.

 

Toutes les fonctions de cet appareil sont réglables en intensité et il comporte un choix de programmes prêts à l’emploi.

 

Pour ceux qui souhaiteraient s’informer plus complètement sur ce dispositif, je donne le lien du distributeur : https://www.smartlumbar.fr/accueil/?&code=aidzsevswsv&clickid=w7ohda6nar7flk6f2abb8g0i&trkd=kasg.azandclic.com&dbname=vitales

 

 

 

Le « miracle » :

 

Lorsque j’ai lu toute la documentation sur le Smart Lumbar, j’ai senti la présence attentive de « Grand Guerrier » à côté de moi ou bien peut-être plutôt en moi (j’ai du mal à le situer précisément !). Malgré tout, je n’ai pas commandé tout de suite l’appareil, pour pouvoir m’accorder un temps de réflexion. Le lendemain, dès mon lever, « Grand Guerrier » s’est manifesté à moi pour me rappeler de ne pas oublier de commander le Smart Lumbar…A dire vrai, ce dispositif me paraissait séduisant mais je gardais de gros doutes sur le fait qu’il puisse vraiment soulager mes souffrances. Mais ma confiance en « Grand Guerrier » est telle que je décidais, sans plus attendre, de le commander. Il m’a été livré rapidement et, le jour même de sa réception, je m’en suis servi. Il est conseillé de l’utiliser couché par terre (et c’est donc cette option que j’ai choisie initialement), bien qu’il puisse être également employé en position assise. Contrairement à ce qui est indiqué, j’ai ressenti de la douleur aux vertèbres au cours de cette 1ère séance ; mais lorsque celle-ci fut achevée, j’ai constaté que mon dos était plus souple et surtout que mes souffrances s’étaient amoindries considérablement. Je suis resté un moment incrédule…, trop beau pour être vrai ! J’ai fait une nouvelle séance le soir, avant de me coucher. J’ai alors passé ma meilleure nuit depuis bien des années et me suis levé avec aisance, sans aucune douleur, aucune gêne, aucune paralysie, l’esprit très lucide. N’eut été la présence de « Grand Guerrier » en moi, je me serais pincé pour être sûr de ne pas rêver ! J’étais comme sur un nuage, je me sentais léger, libre et fort ! Je devais me rendre à l’évidence : je vivais un authentique miracle, même si celui-ci avait emprunté des voies bien inhabituelles pour se manifester et se concrétiser. Ainsi, il avait commencé par la « rencontre » de la lumineuse chamane Brigitte PIETRZAK, s’était poursuivi par mon contact avec l’Esprit « Grand Guerrier » qui s’était proposé, par l’intermédiaire de Brigitte, pour me décharger de mon gros fardeau de souffrances, puis par les initiatives de celui-ci qui a cherché, trouvé et mis sur mon chemin le Smart Lumbar , en me poussant à l’acheter…Il ne me restait plus qu’à l’essayer pour me rendre compte à quel point la confiance peut mener vers un dénouement heureux !

 

Depuis lors, chaque jour, matin et soir, je fais des séances avec le Smart Lumbar et je constate que tous mes symptômes, sans exception, ont disparu …comme par enchantement. Plusieurs fois par jour, je m’adresse à « grand Guerrier » pour le remercier de son aide si efficiente par l’entremise de cet appareil. Les chats s’étirent chaque jour pour rester en forme. De même, j’utilise quotidiennement mon dispositif « anti mal de dos » pour conforter et pérenniser les résultats obtenus.

 

J’ai tenu à témoigner de cet étrange scénario qui peut inspirer d’autres personnes vivant dans la douleur « incurable » car rien n’est impossible à celle ou celui qui croit qu’il y a toujours une possibilité de guérison « quelque part »…

 

 

 

(*) Brigitte PIETRZAK est l’autrice, entre autres, du livre « Ciel blanc, ciel noir », paru chez Mama Editions

 

 

 

 

Comment peut-on prétendre résoudre un problème de santé si on n’en connaît pas l’origine ? Le cas d’une infection par Helicobacter pilori.

 

 

 

Poser cette question peut sembler absurde puisque tout le monde sait que n’importe quel médecin, avant de prescrire un remède, procède à un diagnostic. Pourtant, il est bien connu que la médecine allopathique soigne, la plupart du temps, les symptômes comme si ceux-ci pouvaient être assimilés aux causes d’une pathologie. Et c’est bien là que le bât blesse !

 

Je vais vous en donner un exemple en vous relatant le cas d’une jeune fille que j’ai soignée récemment. Celle-ci a pris contact avec moi car elle souffrait d’une infection chronique, depuis environ un an, se traduisant par de fortes douleurs à l’estomac et des nausées quotidiennes ainsi que de fréquents vomissements et des diarrhées épouvantables. Sur le plan médical, on avait diagnostiqué un ulcère gastrique, à la suite d’une gastroscopie avec biopsie qui révéla la présence du bacille Helicobacter pilori. La médecine conventionnelle considère généralement que ce type de problème est consécutif à une contamination orale et elle préconise un traitement aux antibiotiques par trithérapie, durant une dizaine de jours, pour éradiquer l’importun. Notre jeune fille commença ce type de traitement mais dut l’arrêter dès la fin de la 1ère journée car il s’avéra intolérable et violent. Désespérée, elle se mit en quête d’un thérapeute ayant recours à des solutions naturelles et c’est ainsi qu’elle finit par tomber sur moi. Je tiens à préciser qu’elle est très éloignée de mon domicile (plusieurs centaines de kilomètres) et que, par conséquent, mon évaluation et mes soins ne pouvaient se faire qu’à distance.

 

Je la priai de m’envoyer rapidement un photo qui allait me servir de témoin radiesthésique. Cela me permit d’établir :

 

-que l’infection et l’inflammation par Helicobacter pilori n’étaient pas la cause de la pathologie mais sa conséquence,

 

-que l’origine de ce problème était d’ordre émotionnel,

 

-qu’un stress intense et prolongé était mémorisé et stocké dans les disques vertébraux D6 et D7.

 

Moyennant quoi, ma stratégie de soins s’est articulée sur 2 points essentiels :

 

-d’abord mettre un terme à l’infection et l’inflammation : pour cela, j’ai préconisé de boire, jusqu’à résolution du problème, du jus de pommes de terre crues bio, à raison d’un verre le matin et un verre le soir. Pour préparer ce jus, il suffit de peler puis de couper en morceaux les pommes de terre, de les mettre dans un mixer, avec environ 200ml d’eau pour 3 pommes de terre (dose pour une journée), et de les mixer jusqu’à obtention d’une boisson homogène. Partager entre 2 parts égales : une pour le matin, l’autre pour le soir. Si on dispose d’un extracteur de jus, on l’utilise à la place du mixer (c’est mieux !) et, dans ce cas, on ne rajoute pas d’eau. C’est un remède naturel simple et d’une efficacité remarquable. Il résorbe l’excès d’acidité dans le système digestif sans attaquer la flore intestinale.

 

-ensuite, rechercher les évènements qui ont provoqué des émotions fortement négatives qui sont enkystées dans le corps et qui provoquent des tensions corporelles anormales. Dans le présent cas, en discutant avec la jeune fille, j’ai appris qu’elle avait énormément souffert de la séparation de ses parents, alors qu’elle était très jeune, puis qu’elle avait été violentée à différentes reprises…Pour moi, il y a un trio fondamental à prendre en compte dans l’apparition d’un grand nombre de pathologies : il est constitué du corps physique, du mental et des émotions qui sont intimement liés et dont il importe de comprendre qu’ils ne sont pas l’être que nous sommes mais qu’ils nous guident dans la compréhension de nous-mêmes. Une douleur physique est toujours un message (le « mal a dit ») à décrypter. La colonne vertébrale est un indicateur de premier plan pour orienter les recherches : les dorsales (D1 à D12) renseignent sur les conflits affectifs, les cervicales sur les conflits mentaux et les lombaires sur l’insécurité matérielle et affective. Dans le cas qui nous intéresse, j’ai pu, à distance, comme si j’avais une réponse sensible, en tapotant en marteau sur chaque vertèbre, déterminer une réaction sur D6 et D7 (correspondance avec le diaphragme, l’estomac, le duodénum et le plexus solaire). Pour améliorer rapidement la situation physique et émotionnelle de la jeune fille, je lui ai demandé de consulter un ostéopathe, un étiopathe, un praticien de Shiatsu ou un masseur ayurvédique.

 

Bien entendu, je lui ai également conseillé de suivre certains conseils, comme, par exemple :

 

-boire, quotidiennement, de l’eau plate pure : à jeun, une ½ heure avant le petit déjeuner ; puis environ 2 heures plus tard ; une ½ heure avant le repas de midi ; environ 2 heures plus tard ; une ½ heure avant le repas du soir ; juste avant de se coucher. L’une des meilleures eaux est « Mont Rouscous ». Surtout pas d’eau gazeuse, ni minérale. Je ferai ultérieurement un article sur l’eau de consommation car c’est un sujet extrêmement important, largement ignoré dans notre société.

 

-éviter toutes les autres boissons et, en particulier, le café, le thé, le soda, le jus de fruit, l’alcool, les boissons froides,…

 

-supprimer les produits lactés et les féculents de l’alimentation.

 

-manger bio, de préférence végétarien ou vegan.

 

-éviter les contrariétés…

 

En outre, j’ai procédé, chaque jour, à des soins à distance dont les effets se sont révélés si efficients que la jeune fille a cru, dans un 1er temps, pouvoir se passer de boire le jus de pommes de terre crues. J’ai du lui expliquer qu’il ne fallait surtout pas faire cette impasse, au risque de récidiver, les soins devant s’entendre comme un tout indissociable.

 

Dans un cas comme celui que je viens d’exposer, il va de soi que, pour rétablir une santé pérenne, il faut également  se préoccuper et régler définitivement le problème émotionnel qui est à sa source.

 

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Comment retrouver sa pureté originelle

 

 

Les hommes d’aujourd’hui n’ont généralement pas conscience qu’ils portent accumulées sur eux et en eux toutes les peurs, les tensions et les souffrances qu’ils ont connues depuis leur naissance. Aussi ne prennent ils pas la peine de « se faire nettoyer et récurer » intégralement de temps à autre.

 

Il est vrai que très peu de thérapeutes, à ma connaissance, sont capables de faire ce travail de « remise à neuf » du corps physique, des corps subtils et de l’âme, lequel exige un amour inconditionnel, un savoir-faire particulier, une grande maîtrise, beaucoup de temps (un certain nombre de jours) et une confiance totale du soigné en son soignant. Je vais vous décrire succinctement une partie de ce travail qui permet d’offrir, à un être humain, de renaître littéralement à lui-même et, par suite, de se trouver dans un état de bien-être originel engendrant un changement radical de paradigme.

 

Sans doute, la plupart de ceux qui me liront seront surpris par ce que je vais révéler parce que cela est fort éloigné de ce qu’ils connaissent, et que le temps à y consacrer leur paraîtra incompatible avec nos fâcheuses habitudes de vouloir « aller vite et bien ». Un autre point pourra apparaître à certains –surtout les pudiques- comme rédhibitoire car ces soins demandent la nudité du soigné. Toutefois, n’ayez pas un à-priori négatif à cause de cela. Essayez, s’il vous plaît, de comprendre et, croyez-moi, cela vaut la peine !

 

-1ère étape :

 

Eléments de compréhension préalables : notre peau, avant de traverser notre chair et de s’installer en notre âme, absorbe toutes les douleurs et les souffrances des personnes, des êtres et des objets que nous croisons. Il est donc extrêmement important de se vêtir, c’est-à-dire de couvrir notre corps, de matériaux naturels et sains tels le coton, le lin ou la laine. Porter des vêtements en matériaux synthétiques est une ineptie : ceux-ci polluent tout notre corps, déséquilibrent notre système nerveux, affectent notre système immunitaire, apportent de la souffrance par le biais de notre sang et perturbent fâcheusement nos cellules. En un sens, nos habits ont une forme de vie et nous devons prendre conscience que nous devons les choisir pour ne pas qu’ils nous empoisonnent. Il est très dommageable, pour l’homme occidental d’aujourd’hui, de ne pas saisir cette évidence. Pour pérenniser la qualité des soins dont je vais faire état, il est essentiel de prendre en compte cette information et, par conséquent, de s’habiller uniquement avec des vêtements qui préservent notre bien- être et confortent notre énergie vitale. Je vais ajouter un élément que je vous conseille de respecter : les habits étant, en quelque sorte, une 2ème peau sensée nous protéger, ils sont à considérer comme des objets sacrés et, comme le prêtre range avec grand soin sa soutane, son étole et sa chasuble, nous avons, de la même manière, à plier délicatement nos vêtements et à les ranger précautionneusement chaque fois que nous les quittons.

 

Le 1er soin : il consiste à se faire laver, dans une baignoire (ou, à défaut, sous la douche), par le thérapeute. Celui-ci savonne vigoureusement le soigné, des pieds à la tête, avec un savon naturel, le rince, puis recommence 7 fois de suite, avec une grande minutie et beaucoup d’énergie. Ensuite, il lui applique, sur tout le corps, un parfum au galbanum (utilisé en particulier, depuis la nuit des temps, en Iran) qui a de nombreuses propriétés purifiantes, antispasmodiques, tonifiantes, antifatigue, expectorantes, stimulantes et carminatives. Ce lavage procure un sentiment de pureté considérable qui vous fait vous sentir léger et joyeux.

 

Il est suivi d’un raclage très méticuleux de la peau à l’aide d’un couteau en os , en utilisant la pointe (émoussée) pour gratter toute la surface de peau du corps, centimètre par centimètre. Ce travail, long et fastidieux, est exécuté sur une table de massage ; il a pour objet de déloger toute la concrétion invisible qui s’est formée, sous forme de grains agglomérés, telle une croûte, au fil du temps et des épreuves, et qui est constituée en particulier des peurs vécues ; en outre, elle interagit négativement sur les auras, empêchant celles-ci de se déployer dans l’harmonie. Ce raclage est fait sur l’ensemble du corps, y compris sur la tête, les dents, la langue, le palais, les oreilles, les paupières, les ongles, les testicules et le pénis chez les hommes, le vagin et la vulve chez les femmes, et l’anus. La durée de ce nettoyage est de l’ordre de 3 heures. Et il est renouvelé chaque jour, sur une durée totale de 9 jours consécutifs.

 

Ceci vous paraît probablement contraignant et, sans doute, vous dites-vous : «Cela n’est pas pour moi ! » . Sachez que le raclage est fait de telle sorte que le soigné ne sent aucune douleur, ni irritation, ni aucune gêne mais, au contraire, un sentiment de purification extraordinaire. Il induit un état de transformation de l’être inimaginable qui s’apparente, d’une certaine façon, à une illumination, avec un état d’euphorie, de bien-être et de joie, et une clarté d’esprit jamais connue auparavant.

 

-2ème étape :

 

Le soigné, nu, est installé sur une table de massage et le thérapeute le palpe et enfonce précautionneusement, mais fermement, ses doigts dans sa chair pour prendre, tour à tour, chacun de ses os et les parcourir.

 

Le soignant doit expliquer que, tout comme la terre tourne autour de son axe, la croissance de nos os se réalise en s’enroulant sur eux-mêmes, ce qui est d’ailleurs visible lorsque l’on examine leur structure. Il prend, tour à tour, avec ses 2 mains, chaque os des membres du corps, soit l’humérus, le cubitus, le fémur, la rotule, le péroné et le tibia, et leur imprime un mouvement de giration vers l’extérieur. Cela provoque une légère douleur, suivie d’une sorte de libération. Evidemment, il importe, durant la séance, d’être le plus détendu possible. Ensuite, le thérapeute demande au soigné de tourner la tête, le plus loin possible, d’abord, à gauche, puis à droite, et ceci à différentes reprises, jusqu’à ce que l’angle de rotation se soit nettement agrandi.

 

Le soignant pince alors la peau du soigné et l’étire sur la poitrine, les épaules, les jambes, les bras, les paupières, la nuque, le crâne, les testicules pour un homme, le mont de Vénus pour une femme.

 

-3ème étape :

 

Le soigné se tient debout devant le soignant. Ce dernier procède, avec beaucoup d’application, au démêlage des nœuds invisibles et au peignage de l’aura, avec ses mains disposées à la manière d’un peigne, jusqu’à ce que l’aura soit homogène, ordonnée et lisse.

 

Ce soin est suivi du nettoyage de l’ombre du soigné. Là, je sens que je vais me discréditer complètement auprès de certains lecteurs mais, peu importe. Le soigné est placé devant une fenêtre, en choisissant l’orientation pour que son ombre soit projetée dans la pièce. Si le temps ne le permet pas, le soigné sera placé devant une lampe allumée, l’essentiel étant de voir l’ombre du soigné sur le sol. Il est alors demandé à celui-ci de garder une immobilité totale. Le soignant va alors se positionner près de l’ombre avec une bassine d’eau et un savon naturel parfumé à la lavande. Il savonne énergiquement l’ombre, la brosse, enlève la mousse avec une éponge et, enfin, l’essuie avec une serviette. Comprendra qui voudra ou qui pourra mais l’ombre ainsi nettoyée est devenue propre, et le soigné, s’il est attentif, remarquera en lui un changement essentiel…

 

Cette série de soins doit être faite par un thérapeute homme pour soigner une femme, un thérapeute femme pour soigner un homme, en raison des polarités complémentaires et des énergies nécessaires.

 

Je suis conscient du fait que ce que je viens de révéler peut paraître incongru et difficilement croyable. Et pourtant, l’efficacité de cette méthode dépasse tout ce que l’on peut attendre d’une purification. Je ne connais aucun autre moyen en mesure de rivaliser avec elle, d’obtenir un résultat d’un niveau aussi élevé, et de permettre au soigné de faire un bond d’élévation spirituelle en avant aussi magistral.

 

Toutefois, le problème est de trouver un thérapeute pratiquant cette méthode, d’autant que sa gratuité est impérative.

 

Je conseille aux couples motivés de l’expérimenter, l’un jouant le rôle de soignant et l’autre celui de soigné. Attention de ne pas tomber dans le piège de la sexualité, sinon, il n’y aura rien à attendre de particulier…

 

Ce que je viens de vous indiquer n’est qu’une partie de cette purification magistrale mais elle est suffisante. Normalement, elle se poursuit par d’autres soins nécessitant un niveau d’amour inconditionnel pour l’instant inaccessible à la plupart d’entre nous. C’est pourquoi, il me semble prudent de ne pas les dévoiler.

 

 

 

Expérience de programmation d’une huile via un cristal

 

Je viens partager avec vous une expérience de création d’une huile informée en ayant recours à un cristal.

 

 Pour cette expérience, il est fort souhaitable de disposer d’un cristal n’ayant jamais servi et n’ayant pas déjà été informé. La 1ère chose à faire est, de toute façon, de le nettoyer. Pour cela, on le met à tremper dans de l’eau salée (gros sel) puis on le lave à l’eau courante et on l’expose à la lumière du jour durant 24H (mettre sur une banquette de fenêtre, côté Sud).

 

On choisit ensuite l’information que l’on veut intégrer au cristal. Dans mon exemple, il s’agit de l’activation d’un chakra. Voici comment procéder : prendre le cristal dans une main, le regarder attentivement et fixement , lui parler, en conscience, à voix haute, et à 7, 9 ou 33 reprises, en disant la phrase suivante : « A chaque fois que je t’approcherai d’un chakra, tu l’activeras fortement. ». Ensuite, il faut valoriser et stabiliser l’information. Je vais vous proposer une autre méthode que celle utilisée couramment par les radiesthésistes (qui ont souvent recours à un émetteur géométrique tel que le double décagone) ; s’assoir devant une table, prendre le cristal dans la main droite, poser l’autre main ouverte sur la table, et abattre énergiquement le cristal sur la main gauche 7, 9 ou 33 fois.

 

Il faut alors vérifier que le cristal est effectivement programmé. Pour cela, approchez votre main réceptrice à proximité d’un chakra : par exemple, du plexus ombilical, pour ressentir son activité ; si vous n’êtes pas très sensible, faites la vérification de manière radiesthésique. Ensuite, approchez le cristal de ce plexus et regardez son activité ; si celle-ci a nettement été améliorée, c’est que le cristal a correctement été informé. Si tel n’est pas le cas, recommencez depuis le début.

 

On passe ensuite à la 2ème phase qui consiste à transférer l’information intégrée au cristal dans de l’huile. Personnellement, je prends une bonne huile d’olive bio (mais ce peut être une autre huile). Prenez la précaution d’enlever le papier collé autour de la bouteille et, en particulier, le code- barre, pour éviter que l’huile contienne des informations parasites. La méthode de transfert de l’information est identique à celle précédemment employée : vous mettez, couchée dans votre main gauche, la bouteille d’huile et, dans la main droite, le cristal informé, puis vous abattez, en douceur, le cristal sur la bouteille et, ceci, 7, 9 ou 33 fois.

 

Il faut s’assurer que l’huile a bien pris l’information. Pour cela, il suffit de procéder comme précédemment lorsque l’on a vérifié que le cristal était bien programmé. Cette fois, on versera une goutte d’huile sur le chakra choisi pour le test. A noter que l’information de l’huile est amoindrie par rapport à celle du cristal en raison du verre de la bouteille mais elle est suffisante.

 

Ce procédé est valable pour tout type de programmation que l’on souhaite réaliser. On peut, bien entendu, substituer au cristal une pierre cristalline ou bien un objet facilement « imprégnable » , comme du coton hydrophile.

 

Les soins à distance

Les soins à distance sont utilisés depuis bien longtemps et dans toutes les parties du monde. Leur grand avantage est qu’ils permettent de soigner une personne ou un animal sans que celle-ci ou celui-ci  ait à se déplacer et ceci quelle que soit la distance. Évidemment, cette possibilité est niée par la science officielle bien qu’un certain nombre d’expériences scientifiques positives aient été menées , dans certains pays, sur ce sujet. Plusieurs hypothèses ont été avancées pour expliquer les soins à distance mais aucune ne peut tenir lieu de preuve. Pour moi, peu importe : ce qui compte, c’est que çà marche ! Et, si çà marche c’est parce que nous sommes tous interconnectés et que chacun a une signature vibratoire qui lui est unique…

La plupart des praticiens ont comme support de résonance avec le patient une photo récente de lui, de préférence en pieds, et où il est seul. Mais il est possible d’utiliser aussi un cheveu, un ongle, une goutte de sang, voire simplement un objet porté par la personne (un bijou par exemple). Il m’arrive également  fréquemment d’établir le contact nécessaire au téléphone, par la voix ; mieux encore, le soin peut se faire par le recours à Skype, par internet, alliant ainsi à la voix l’image vidéo.

La personne reçoit le soin au moment où il est émis.

Pour faire le soin, le praticien se met en état modifié de conscience pour accéder à la délocalisation. Cette aptitude résulte de la synchronisation des 2 hémisphères cérébraux. Le soin agit là où c’est nécessaire, non seulement sur le corps physique mais aussi sur les corps subtils.

Pour faire un soin à distance, tout comme, d’ailleurs, un soin énergétique en direct, le praticien sollicite l’aide des Etres de Lumière pour ouvrir les portes du Champ de Conscience Supérieur. Certains font appel également à la prière ou à des rituels. D’autres utilisent les sons sacrés tibétains, l’énergie salvatrice des lettres hébraïques,  les cristaux, des bougies, etc.

Il est fréquent que l’action des Etres de Lumière soit perceptible non seulement par le thérapeute mais aussi par celui qui reçoit le soin. Mais si le patient ne s’ouvre pas au soin, s’il résiste, la reliance du praticien au plan spirituel ne peut se faire et, par suite, l’acte de guérison ne peut avoir lieu. En fait, le soin, qu’il soit à distance ou en direct, implique une triangulation entre 3 parties :

-le consultant qui doit être détendu, réceptif et confiant,

-le praticien qui doit changer de plan de conscience et se connecter aux puissances spirituelles,

-la Source d’Énergie divine, avec une émanation suffisante pour que les Etres de Lumière puissent se densifier pour agir.

Le soin à distance n’est pas un acte médical et il ne se substitue pas à lui. Il est simplement une aide appréciable.

Certaines personnes considèrent que les résultats obtenus par cette voie (quand il y a résultats car nous venons de voir qu’ils dépendent d’une triangulation et qu’ils ne sont donc pas systématiques) relèvent de l’effet placebo. A ceux-là, j’ai l’habitude de répondre que les résultats les  plus spectaculaires sont obtenus sur les animaux et qu’il me paraît alors difficile de prétendre soutenir un tel argument…

Il est une chose, pourtant fondamentale, dont je n’ai pas encore parlé bien qu’elle soit au cœur du soin : pour aider efficacement une personne, il faut être dans l’Amour : il faut apprendre à s’aimer soi-même pour aimer les autres. Quand on fait un soin, on demande la guérison avec chaleur et enthousiasme mais…sans exigence : la décision ne nous appartient pas ; elle appartient toujours à celle ou celui qui reçoit le soin (libre-arbitre).